St Georges de Didonne
terre d'accueil de vos vacances
Présentation
Durant le Moyen Âge, le territoire de la commune actuelle est constitué de deux pôles principaux : d'un part le village de Saint-Georges, vivant principalement de la pêche et de l'agriculture, de l'autre, le village de Didonne, siège de la seigneurie, bâti aux pied de son château fort. À la fin du XVIIe siècle, le village, profitant de sa situation privilégiée à l'embouchure de la Gironde, devient une importante station de pilotage : son port naturel sert ainsi de refuge aux pilotes lamaneurs servant de guides pour la traversée de l'estuaire.
L'âge d'or de la commune commence au XIXe siècle, avec la vogue des bains de mer : ainsi débute la grande vague d'urbanisation et de modernisation des infrastructures qui transforme le village en véritable cité.
Ses habitants sont appelés les Saint-Georgeais et les Saint-Georgeaises.
Jouant volontairement la carte du tourisme « familial », labellisée Famille Plus, Saint-Georges-de-Didonne met en avant sa conche de sable fin, plus grande plage intra-muros de la Charente-Maritime, ses infrastructures touristiques et ses animations (festival Humour et eau salée, festival musiques et gastronomie du monde). La commune met également en valeur son patrimoine naturel, bénéficiant de la présence sur son territoire d'une vaste pinède, la forêt de Suzac — un des trois poumons verts de l'agglomération royannaise avec la forêt domaniale de la Coubre et la forêt des Combots d'Ansoine — et d'un site naturel protégé par le conservatoire du littoral, la pointe de Suzac.
Activité et patrimoine
L'église Saint-Georges est élevée dans le courant du XIIe siècle, mais est remaniée à plusieurs reprises ultérieurement. Son clocher néo-roman atypique est élevé en 1877. Elle est située au cœur de la ville, en plein centre-ville
Le logis de Lussinet est une construction du XVIIe siècle consécutive à l'aliénation de certaines terres appartenant au prieuré Saint-Georges lors des guerres de religion. Seul subsiste de nos jours le corps de logis principal et quelques dépendances reprises au XVIIIe siècle.
Le fort de Suzac : Durant la seconde guerre mondiale, l'organisation Todt est chargée de l'édification d'une forteresse destinée à protéger les côtes d'un éventuel débarquement : le Fort de Suzac. Constitué d'une succession de casemates en béton armé - ou blockhaus -, le fort est endommagé par les bombes américaines durant les combats de 1945. Actuellement situé dans une zone protégée par le conservatoire du littoral, le fort est en cours de réhabilitation
La forêt de Suzac est un massif forestier d'une superficie de 350 hectares, elle s'étend pour partie sur une péninsule constituée de falaises calcaires dominant les eaux de l'estuaire de la Gironde et de l'océan Atlantique, marquant de manière symbolique la transition entre ces deux espaces naturels. 83 hectares de ce domaine sont la propriété du conservatoire du littoral, lequel en a confié la gestion aux communes de Saint-Georges-de-Didonne et de Meschers-sur-Gironde. La forêt de Suzac abrite le parc de l'estuaire, un pôle-nature aménagé par le conseil général afin de valoriser le site et le « Parcours sportif du CRAPA » (Circuit rustique d'activités physiques aménagées).
Le sentier littoral ou chemin des douaniers :
les plans d’eau : Deux plans d'eaux semi-artificiels ont été aménagés en parc de loisirs et zone de pêche : ils communiquent avec les marais de Boubes. L'étang de la Briqueterie, au sud-est de la commune, est un plan d'eau dédié à la pêche, tandis que le lac d'Enlias, au nord de la commune, est un parc de loisirs. Ce parc se compose d'un plan d'eau entouré de chemins piétonniers serpentant à travers la végétation, composée surtout de chênes et de peupliers. On y trouve également une aire de pique-nique.
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